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Dans les bois éternels
" Ça me gratte sur mon bras manquant. Quand mon bras est parti, je n'avais pas fini de la gratter. Alors elle me démange toujours. C'est que le sentiment n'a pas fini sa vie. Et si on meurt ; avant d'avoir fini de vivre, c'est pareil. Les assassinés continuent à traîner dans le vide, des engeances qui viennent nous démanger sans cesse. " Se pourrait-il que le commissaire Adamsberg coure après une ombre ?